Accueil des personnes séparées/divorcées

L’Eglise catholique accueille les personnes séparées/divorcées pour relire leur chemin, discerner en conscience comment suivre au mieux le Christ, dans l’esprit d’Amoris Laetitia du pape François et à la lumière de l’Evangile. 

Nous vous offrons la possibilité de rencontrer une personne compétente, prêtre, théologien canoniste (pour ce qui concerne les demandes de reconnaissance de nullité de mariage) ou psychologue, en fonction de votre demande. 

Renseignements possibles auprès

  • du prêtre de votre paroisse 
  • de la pastorale des familles – Anne-Claire Rivollet, tel : 079 259 51 33 
Flyer accueil des personnes divorcées en Eglise

Ressources disponibles 

Revivre est un parcours pour aider les personnes en cours de séparation ou déjà séparées à traverser les difficultés liées à la rupture et à trouver les ressources pour rebondir.

Atelier d’estime de soi – canton de Vaud

Ces ateliers s’adressent à toute personne désireuse de renforcer son estime d’elle-même, aussi bien dans la dimension de l’amour de soi (l’être) que la confiance en soi (l’agir).

Objectifs :

  • Comprendre ce qu’est l’estime de soi et comment elle se construit
  • Renforcer l’estime de soi dans ses deux dimensions : amour de soi et confiance en soi
  • Apprendre à s’affirmer de façon ajustée
  • Se connecter à sa dimension spirituelle, se laisser guider et guérir par le sacré en nous
Couple triste en bord de mer - séparation divorce église

 

 Dans certains cas, la valorisation de sa propre dignité et du bien des enfants
exige de mettre des limites fermes aux prétentions excessives de l’autre,
à une grande injustice, à la violence ou à un manque de respect qui est devenu chronique.
Il faut reconnaître qu’« il y a des cas où la séparation est inévitable.

Parfois, elle peut devenir moralement nécessaire, lorsque justement,
il s’agit de soustraire le conjoint le plus faible, ou les enfants en bas âge, aux blessures les plus graves causées par l’abus et par la violence, par l’avilissement et par l’exploitation,
par l’extranéité et par l’indifférence ».
Mais on ne peut l’envisager que « comme un remède extrême
après que l’on a vainement tenté tout ce qui était raisonnablement possible pour l’éviter ».

Pape François, Amoris Laetitia n° 241

des questions, un partage ?
ecrivez-nous !

1 + 11 =